Métabolisme territorial : Seine, Étretat, Touques

Atelier pédagogique 2023-2024   Sommaire

En 2023, les étudiants paysagistes ont exploré trois vallées littorales de la Normandie, Étretat, la Seine et la Touques, pour comprendre leur fonctionnement et projeter leur devenir en considérant une augmentation de la température de 4° d’ici à 2100.

Cet atelier était l’occasion de comparer des métabolismes territoriaux différents, chacun en lien avec la Manche. Leur paysage a été analysé, puis considéré dans toutes ses dimensions, en tenant compte des réalités environnementales, sociétales et climatiques du territoire.

L’atelier a débuté par un voyage de découverte sur le terrain et la rencontre d’acteurs locaux dans chacune des vallées entre Etretat, Trémauville, Le Havre en passant par Duclair et finissant par Deauville, Trouville, Lisieux et Croutte. Cette immersion a permis aux étudiants d’avoir une réflexion sensible autour des dynamiques du territoire.

Le 9 janvier 2024 une présentation ouverte sous la forme d’une exposition des travaux des étudiants a été organisée pour partager ce travail avec les financeurs du CPIER, les intervenants et les membres du réseau paysage pour favoriser les échanges entre professionnels et étudiants, entre idées et stratégies de développement territorial.

Ce travail a été encadré par l’enseignant Benoît Barnoud, architecte-paysagiste associé (Altitude 35), Lou Bellegarde, architecte (Atelier Particule), et Axelle Grégoire, paysagiste et doctorante à l’ENSP.

Le document de synthèse sera disponible à la rentrée universitaire 2024-2025.